Quel hémisphère de votre cerveau utilisez-vous le plus ?

Découvrez, grâce à un exercice simple, comment votre cerveau fonctionne.

Nos pensées et émotions naissent dans notre cerveau et sont conditionnées par notre âge, notre genre, notre culture, nos expériences, etc. Elles se construisent et évoluent au gré du temps. Ainsi, notre vision du monde est unique à un instant T et il est intéressant de comprendre comment notre cerveau fonctionne pour améliorer nos relations sociales, notre compréhension de notre environnement et s’adapter à tout type de situation y compris lors de la maladie.

Des expériences ont également montré que les deux hémisphères du cerveau influent sur notre manière de penser. Pour savoir quel hémisphère vous utilisez plus fréquemment, faites le test ci-après : de quel côté voyez-vous la danseuse tourner ?  C’est un bon exercice à faire avec ses proches afin de constater que les perceptions sont différentes.

Voir la vidéo et faire l’exercice

Si vous la voyez tourner dans le sens des aiguilles d’une montre, vous utilisez votre hémisphère droit : intuitif, aléatoire, irrationnel, rêveur, synthétique, subjectif, s’intéresse à la totalité.

> Vous vous concentrez davantage sur l’esthétique, le ressenti et la créativité.

A l’inverse, si vous la voyez tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, vous faites appel à votre hémisphère gauche : logique, séquentiel, rationnel, analytique, s’intéresse aux détails.

> Vous avez tendance à apprécier particulièrement l’exactitude et à vous focaliser sur l’objectif.

Généralement, les personnes ont une préférence distinctive pour l’un de ces modes de pensée. Si vous la voyez tourner en alternance dans les deux sens, vous utilisez vos capacités logiques et créatives de façon équilibrée.

Concrètement, au cours d’une séance de rééducation pour retrouver la mobilité d’un membre blessé, une personne sollicitant davantage son hémisphère gauche focalisera son attention sur un rétroplanning et une date d’échéance à atteindre. Une personne pensant avec son hémisphère droit s’intéressera davantage aux exercices proposés et à sa relation avec le professionnel de santé pour atteindre l’objectif.

Le conseil de Liz :

Si cela vous intéresse, il existe d’autres tests plus complets, comme le modèle de Herrmann, qui à travers une série de questions, vous permet de mieux comprendre vos préférences cérébrales.

Que faut-il faire pour repousser le déclin cognitif de notre cerveau ?

Contrairement au corps, notre cerveau s’use si nous ne nous en servons pas. Comment l’aider à conserver sa jeunesse ?

Si nous avons un esprit curieux, nous pouvons faire pousser nos neurones toute notre vie et améliorer ainsi sa plasticité. Le cerveau est en constante évolution et les connexions cérébrales se créent, se renforcent ou s’affaiblissent en fonction des réseaux neuronaux utilisés plus ou moins fréquemment. La neuroplasticité est favorisée par les nouveaux apprentissages, les prises de décisions et les émotions positives, ou elle est entravée par le stress et un mode de vie quotidien déséquilibré.

Il existe plusieurs façons d’améliorer la neuroplasticité cérébrale, notamment par des activités cognitives, sociales et physiques. Voici comment vous pouvez renforcer ou créer de nouveaux neurones :

Vivre des expériences variées et des émotions positives

Pour stimuler l’activité cérébrale, il faut diversifier les expériences permettant la réflexion, la concentration, la créativité, l’apprentissage, la découverte, les interactions sociales et les défis. Il peut s’agir de puzzles, de jeux vidéo ou de société, de voyages, de l’apprentissage d’une nouvelle langue, d’expériences sensorielles comme la musique ou la cuisine, la lecture, la création artistique et la danse, etc.

« Faire différemment » construit de nouveaux chemins neuronaux et « ressentir » favorise la mémoire, la concentration, l’empathie naturelle, la coopération et apaise le cerveau limbique, siège de toutes nos émotions. Ces dernières influent sur nos gènes, notre système hormonal et sur la construction des circuits neuronaux. Il convient donc de comprendre nos émotions plutôt que de les réprimer et de minimiser les situations de stress.

Un sommeil récupérateur

Le sommeil a des effets importants sur la santé physique et mentale. Dormir est essentiel pour la croissance des dendrites, qui se développent à l’extrémité des neurones et transmettent les informations d’un neurone à l’autre, renforçant ainsi les connexions neuronales.

Respecter un horaire de sommeil cohérent et créer un environnement propice à un repos détendu et sain, sont donc salutaires pour notre cerveau.

La pratique d’exercice physique

L’activité physique régulière est un autre moyen de favoriser la neuroplasticité en augmentant le flux sanguin et l’oxygène dans le cerveau. Le sport contribue ainsi à :

Les neuroscientifiques ont également établi un lien entre la méditation, les exercices de respiration et la neuroplasticité. En plus de réduire le stress et les émotions négatives, ces pratiques contribuent à améliorer la structure physique du cerveau.

Une alimentation saine

L’excès de graisses et de sucres dérèglent le fonctionnement cellulaire et altèrent les vaisseaux sanguins du cerveau. Cela entraîne progressivement un stress cellulaire qui réduit fortement la capacité naturelle de régénération des connexions neuronales. En revanche, la pratique du jeûne intermittent favorise les réponses adaptatives des neurones, améliorant ainsi la plasticité cérébrale.

Notre bien-être général est inévitablement lié à l’état de santé de notre cerveau. Plus notre cerveau perçoit des changements et plus il se régénère !

* Processus par lequel de nouveaux neurones se forment dans le cerveau.

Le conseil de Liz :

Il existe des applications de coaching cérébral payantes pour améliorer sa concentration, sa mémorisation, sa créativité et autres capacités cognitives (Geist, Neuronation, Peak, Braint out, etc.). Néanmoins, un sudoku quotidien ou des mots fléchés produiront aussi leur effet !

Pour être efficace, l’entraînement doit être varié (diversifier les jeux et les niveaux de difficulté), et complémentaire au sport, aux amis ou à l’apprentissage d’une nouvelle compétence.

Trois remèdes naturels de grand-mère pour faire le plein d’énergie

Vous avez du mal à sortir du lit le matin ou ressentez des sensations de fatigue durant la journée ? Découvrez trois remèdes naturels faciles à concocter et efficaces !

1. Un jus de carotte vitaminé

Consommé un verre de jus de carottes fraîches au réveil vous permettra d’avoir de l’énergie tout au long de la journée et donc de lutter contre la sensation de fatigue. Pour cette recette, il convient de passer deux carottes bio lavées (avec leur peau) et une orange épluchée dans un extracteur de jus ou une centrifugeuse. Ajoutez-y une pincée de cannelle en poudre. Vous obtiendrez un délicieux jus pour bien démarrer la journée !

2. Le vinaigre de cidre au miel

Pour préparer cette concoction, mélangez une cuillère à soupe (15 ml) de vinaigre de cidre de pomme et deux cuillères à café (21 gr) de miel, diluées dans 240 ml d’eau chaude. Cette boisson est appréciée comme un tonifiant réconfortant avant le coucher ou au réveil. Vous pouvez déguster ce mélange chaud seul ou y ajouter du citron, du gingembre, de la menthe fraîche, du poivre de Cayenne ou de la cannelle moulue pour le parfumer.

3. La cure d’ortie

Cette plante est riche en vitamines et minéraux, c’est pourquoi une cure d’ortie est conseillée pour les changements de saison, au moment où la baisse d’énergie est la plus présente. Voici la préparation : portez à ébullition 500 ml d’eau puis hors du feu ajoutez 15 g de feuilles d’orties séchées. Laissez infuser pendant 10 à 15 minutes puis filtrez. Buvez une tasse deux fois par jour, avant le déjeuner et le diner, pendant un mois. Conservez la préparation pendant 48 heures maximum au réfrigérateur.

Le conseil de Liz :

Choisissez la préparation qui vous convient et profitez pleinement de vos journées !

Carte d’identité d’un aliment : le café

Le café est une boisson populaire, appréciée pour son goût et ses propriétés stimulantes. Découvrez les différentes manières de le consommer.

Le petit mot du producteur

Les fruits charnus du caféier, appelés cerises de café, renferment deux noyaux qui contiennent chacun une graine de café.

Arrivé à maturité, le café est récolté de deux manières différentes : la cueillette, qui consiste à ramasser à la main les cerises mûres à point ; et l’égrappage, qui consiste à racler les branches et ramasser toutes les cerises. Cette dernière méthode peut être mécanisée, mais elle a pour inconvénient de ramasser également les cerises vertes, ce qui peut donner un café plus amer.

Puis, on débarrasse le café de son enveloppe charnue par le séchage ou le lavage. À la fin de cette opération, le grain de café est encore enfermé dans le noyau du fruit. Il sera alors trié, et le café peut être conservé pendant un certain temps, protégé par sa coque. La dernière opération permet d’obtenir le café vert en décortiquant mécaniquement les grains. Enfin, les grains sont torréfiés (fortement chauffés) ; ils vont prendre une belle couleur foncée et développent ainsi leurs arômes.

Le petit mot du gourmand

Si l’on veut obtenir une boisson de qualité, la finesse de la mouture doit être adaptée à la méthode de fabrication du café. Lorsque vous vous rendez chez des marchands de café, ils vont moudre celui-ci, mais ils vous demanderont quel type de cafetière vous utilisez. Plus l’exposition à l’eau brûlante est de courte durée, plus la mouture doit être fine pour libérer rapidement les arômes ; au contraire, si le contact entre la mouture et l’eau est prolongé, alors la mouture doit être plus épaisse afin d’éviter au café d’être trop imprégné ; vous obtiendriez un café trop fort et trop amer.

Le petit mot du diététicien

Le café est une boisson principalement composée d’eau. Si vous voulez vérifier votre consommation journalière d’eau, il faut aussi inclure le volume de café (il en est de même pour le thé, les infusions, le lait à boire). Le café, s’il est pris nature, n’apporte pratiquement pas de calories, mais il contient de la caféine. La caféine a des effets stimulants, mais peut induire de l’insomnie, de la nervosité, de l’agitation. Chez une personne qui souffre de brûlures à l’estomac, il est déconseillé d’en boire. Il faut savoir que la teneur en caféine est variable ; elle fluctue en fonction du mode de préparation, de la qualité et du type de grains : l’arabica contient 1% de caféine alors que le robusta en contient 2%.

Le petit mot du buveur de café

Il existe diverses méthodes pour obtenir du café, chacune donnera un café de qualité et de goût différent :

À vos cafetières !

Le café est d’abord une boisson qui peut être consommée chaude ou glacée. Il peut être servi seul, avec du lait ou de la mousse de lait, avec de la crème, avec du chocolat, avec des épices telles que la cannelle, la muscade, la cardamome, etc. Nous vous invitons à tester le café marocain, relevé de cannelle et de poivre, c’est excellent.

Pour les desserts gourmands, le chef vous propose mille et une bonnes choses : petit flan au café, dessert glacé au café meringué, crème pâtissière au café, tiramisu traditionnel (les biscuits sont trempés dans du café noir – pour ceux qui souhaitent retrouver le goût d’amande sans mettre l’Amaretto qui est alcoolisé, j’ai testé une goutte d’amande amère dans la préparation avant de monter le tiramisu : un régal !), mousse au café, marbré au café, muffins au café, mini-financiers au café, yaourt au café, crème brûlée au café, cake au café, milk-shake au café, charlotte chocolat sauce café frappé, panna cotta au café, brioche au café et, plus surprenant, confiture aux pommes et café !

Le conseil de Liz :

Il y a du café pour tous les goûts mais aussi pour tous les budgets ! Connaissez-vous  les brûleries de café ? Des professionnels sauront vous y faire découvrir de nouvelles saveurs à des prix convenables. Vous pouvez avoir un paquet de 250g de café pour 5 euros maximum.

Une idée cadeau à petit budget très intéressante lorsque vous souhaitez faire plaisir.

Une recette originale et diététique pour les fêtes !

Que vous soyez végétarien, végétalien, flexitarien ou glutenfree, voici la recette de la crème brûlée aux champignons qui répondra aux exigences de chacun et épatera vos convives.

La crème brûlée est à l’origine une déclinaison de la crème catalane. Ce dessert, indémodable depuis les années 1990, fait partie de ceux dont raffolent les français. Aujourd’hui, il en existe différentes versions sucrées ou salées. Nous avons sélectionné ici la crème brûlée salée aux champignons.

Liste de courses

Préparation

Le conseil du chef

Ce plat peut être servi en entrée, accompagné d’une belle salade et de quelques toasts de pain grillé. Il peut également être servi seul en guise d’apéritif avec d’autres amuses bouche.

Le petit plus de la recette

Vous pouvez réaliser cette crème brûlée avec tous types de champignons. Vous pouvez également, déclinez cette recette toute l’année avec d’autres poêlées de légumes de saison : butternut, châtaignes, carottes etc.

Le conseil de Liz :

Si vous souhaitez faire attention pendant les fêtes, voici un lien où sont répertoriées quelques recettes succulentes « anti cholestérol » pour profiter pleinement de vos repas de famille ou entre amis sans culpabiliser !

Accéder au site

Comment diminuer
votre reste à charge ?

Certains soins coûtent très chers et les prises en charge de l’Assurance maladie et de votre complémentaire santé sont parfois insuffisantes. Comment y remédier ?

Souscrire à une surcomplémentaire santé permet de diminuer votre reste à charge en le rapprochant le plus possible de zéro euro en cas de :

Afin de vous proposer une protection santé optimale, nos équipes ont conçu l’offre SMI santé +. Notre offre surcomplémentaire est constituée de six niveaux de couverture progressifs. Et parce que vos besoins en santé ne sont pas forcément ceux de votre conjoint et/ou de vos enfants, SMI santé + vous permet de choisir un niveau de remboursement différent pour chaque membre de votre famille !

Le conseil de Liz :

Pour obtenir votre devis personnalisé vous pouvez faire votre demande :

  • depuis notre site internet ;
  • en nous contactant au 09 69 39 17 50 (appel non surtaxé) du lundi au jeudi de 8h30 à 17h45 et le vendredi de 8h30 à 16h45 ;
  • en écrivant par email à service.individuel@mutuelle-smi.com.

Comment prévenir la fatigue mentale ?

Liz vous propose quelques exercices pouvant vous aider à stimuler votre cerveau, stopper la rumination mentale et mettre votre esprit en vacances l’espace d’un instant.

Écrire son trop-plein pour s’en débarrasser

Cette pratique permet d’être prêt à se délester de la vie que vous avez planifiée pour avoir la vie qui vous attend.

Lister noir sur blanc les choses positives

L’objectif est de vous rappeler les petits moments de joie de la journée et les petites et grandes choses que vous avez accomplies. La gratitude augmente le bonheur et réduit la dépression.

Vivre l’instant présent

C’est le seul moment où, objectivement, il est possible de changer votre comportement. Le but est la réduction du stress en évitant de ruminer le passé déjà terminé et d’anticiper un futur qui a de fortes chances de ne pas se réaliser comme vous l’avez imaginé.

Se comporter comme la personne que vous souhaitez devenir pour modifier votre comportement

En agissant comme la personne que vous souhaitez être, vos pensées et vos émotions suivront. Essayez de vous demander comment se comporte une personne mentalement forte. Ensuite, agissez comme si vous vous sentiez déjà fort(e) et vous deviendrez un peu plus fort(e).

Le conseil de Liz :

Les mots croisés, le sudoku et les autres jeux de mémoires permettent d’améliorer vos capacités cognitives et donc de muscler votre cerveau de manière ludique. Vous pouvez, par exemple, installer une routine en vous exerçant autour du café du matin, dans les transports en commun ou dans une salle d’attente.

Vos rendez-vous de prévention

Comme le dit l’adage populaire « prévenir c’est guérir ». Alors n’oubliez pas de vous faire contrôler régulièrement par votre médecin généraliste et par des spécialistes afin d’éviter les pathologies beaucoup plus coûteuses qu’une visite de contrôle. Voici, selon votre âge et votre sexe, les visites sur lesquelles ne pas faire l’impasse.

À tous les âges à partir de l’adolescence

Médecin généraliste

Même si vous vous sentez bien, il est nécessaire de planifier une visite annuelle chez votre généraliste afin de vérifier votre état général : tension, osculation cardiaque, vérification des articulations et des réflexes, etc.

Dentiste

Seule 60 % de la plaque dentaire est éliminée par le brossage des dents. Il est donc indispensable de se rendre une fois par an chez son dentiste pour un détartrage afin d’éviter caries et inflammation des gencives. Si vous êtes fumeur et que vous buvez du thé ou du café, la consultation doit avoir lieu tous les six mois.

Ophtalmologue

Avant 45 ans, il est conseillé de faire vérifier sa vue tous les trois ans puis tous les ans après cet âge. Cette visite est importante car certaines pathologies comme le glaucome ou les lésions de la rétine ne provoquent pas forcément de troubles oculaires à leur début. À partir de 50 ans, votre ophtalmologue réalisera un examen de fond de l’œil afin de détecter une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).

Dermatologue

Il est recommandé de faire examiner votre peau tous les ans afin de détecter l’un des cancers les plus fréquents, le mélanome. Les personnes les plus à risque sont celles qui ont la peau claire et présentent de nombreux grains de beauté.

Podologue

Si vous pratiquez un sport incluant de la course (jogging, football, handball, athlétisme, etc.), il est important de consulter un podologue qui vous permettra d’éviter les blessures aux pieds. Celles-ci peuvent en effet conduire à des problèmes de dos, de genoux et de douleurs articulaires. Une visite une fois par an est donc conseillée.

À partir de 25 ans pour les femmes

Gynécologue

À 25 ans, les femmes doivent réaliser leur premier frottis cervico-utérin chez un gynécologue afin de dépister le cancer du col de l’utérus. Cet examen, qui permet d’éviter 90 % des cancers, devra ensuite être répété tous les ans jusqu’à 65 ans.

Lors de cette visite annuelle, le gynécologue examinera également les seins afin de détecter d’éventuelles grosseurs qui pourraient être signe de cancer. Pour les femmes qui ont des antécédents familiaux de cancer du sein, des examens plus approfondis tels que la mammographie, l’échographie et l’IRM sont effectués tous les ans à partir de 30 ans.

À partir de 30 ans

Médecin généraliste

Le saviez-vous ? L’hypertension artérielle est la première maladie chronique en France avec une personne sur trois concernée. Profiter donc de votre visite chez votre médecin généraliste pour qu’il prenne votre tension. Le diagnostic précoce d’une hypertension vous permettra d’être traité et d’éviter d’éventuelles complications (diabète, maladies cardio-vasculaires).

À partir de 45 ans, quel que soit votre sexe

Cardiologue

Il est conseillé de faire un bilan cardiaque à 45 ans. Celui-ci pourra devenir annuel en cas de cumul des facteurs de risques : hypertension artérielle, tabagisme, etc.

Médecin généraliste

À partir de 50 ans, la Sécurité sociale vous incite à réaliser un test de dépistage du cancer colorectal, que vous pouvez réaliser vous-même. Si le résultat est positif (4 % des cas), votre médecin vous adressera alors à un gastroentérologue afin de réaliser une coloscopie.

À partir de 45 ans, si vous êtes une femme

Radiologue

La ménopause augmente les risques d’ostéoporose, qui rend les os plus fragiles et augmente les risques de fractures. Il est donc conseillé de réaliser une ostéodensitométrie auprès d’un radiologue afin de détecter la maladie et de suivre son évolution.

À partir de 45 ans, si vous êtes un homme

Urologue

L’association française d’urologie recommande un dépistage du cancer de la prostate dès 45 ans. Toutefois, les méthodes de dépistage (toucher rectal et dosage du PSA –antigène prostatique spécifique) sont considérées comme insuffisamment fiables. Par ailleurs, on ne sait pas aujourd’hui distinguer les cancers « agressifs » qui doivent être soignés, des cancers « latents » qui ne nécessitent pas de traitement. Il est donc très important de bien vous renseigner avant d’effectuer tout examen.

Parrainez
vos contacts !

Peut-être avez-vous dans votre entourage une connaissance, un ami ou un proche qui recherche une complémentaire santé efficace et adaptée à ses besoins ou qui paie sa mutuelle trop chère ? Comme Liz, devenez ambassadeur de SMI et parrainez-le !

Comment ça marche ?

1. Votre filleul indique votre nom et votre n° adhérent SMI lors de sa demande de devis pour la complémentaire santé.

2. A la souscription de son contrat, votre filleul gagne un mois de cotisation gratuite en guise de bienvenue.

3. En tant que parrain, vous bénéficiez d’un chèque cadeau de 40 € pour vous remercier de votre fidélité.

Pour toute information complémentaire, vous pouvez consulter le règlement du parrainage.

Invitez dès à présent votre filleul à effectuer une demande de devis en quelques minutes :

Consultez la page de notre site internet dédiée à notre offre de parrainage en cliquant ICI.

Comment bien protéger sa peau contre le soleil ?

Source de vitamine D et de bien-être, le soleil peut aussi apporter des désagréments à votre  peau. Voici quelques points clés pour vous protéger efficacement cet été.

Coups de soleil, tâches, allergies, vieillissement cutané prématuré, mélanomes sont autant de risques auxquels vous exposez votre peau en ne vous protégeant pas suffisamment du soleil.

Quelle protection solaire choisir ?

Avant de choisir votre produit solaire (spray, crème, gel), il faut connaître les réactions de votre peau à l’action des rayons du soleil. Contrairement aux idées reçues, les peaux noires, comme les peaux claires, peuvent également souffrir d’intolérance au soleil. Chaque type de peau nécessite donc une attention particulière et l’usage de protections adaptées.

On compte aujourd’hui six classifications, appelées phototypes, déterminées en fonction de la carnation de votre peau, de la couleur de vos cheveux, et de la fréquence des coups de soleil.

Le choix de votre protection solaire dépend également du moment d’exposition et de sa durée.

Ainsi, il est préconisé, quel que soit votre type de peau, d’opter pour :

L’application d’un produit solaire  doit être renouvelée toutes les deux heures. Il est recommandé d’éviter de s’exposer entre 12h et 16h et de privilégier une détente à l’ombre afin de limiter l’exposition directe.

Vous pouvez également préparer votre peau grâce à votre alimentation. La prise de compléments alimentaires un mois avant votre exposition au soleil et/ou la consommation d’aliments riches en béta-carotène, comme la carotte, le melon, l’abricot ou la mangue, optimisent le bronzage. Sachez aussi que les aliments antioxydants tels que la tomate, la pastèque et le pamplemousse rose aident, eux, à se protéger des rayons du soleil.

Passez un bel été et prenez soin de vous !